FLANDRES

2009-04-30     Armistice entre la Holande et les Flandres, sans l'Artois...

Le comté de Flandre et la hollande ont signé une armistice dans le cadre du conflit qui les opposaient. Toutefois, notons que les artésiens, alliés des Flandres ne font pas parti de cet accord. Tandis que les troupes flamandes ont ordre de se retirer de la Hollande, les troupes artésiennes se retrouvent coincées sur le sol Hollandais. Le comte artésiens ayant pris
connaissance de cet armistice a fait une déclaration que vous pouvez lire dans un autre article.

ARMISTICE :

"Aujourd'hui, le 28 Avril 1457, nous, Comte Ascalon Breydel de Flandres et Elchan de Mérode van Amerongen, chancelière d’Hollande, par les pouvoirs que lui a délégué la Comtesse Karanda, avons décidé en commun d'un armistice entre nos provinces :

- Aujourd'hui le Comte de Flandres, Ascalon Breydel rappellera fermement l'ordre donné aux « armées de flamands » ou « armées mutines » positionnées devant Heusden de se démanteler et de retourner en Flandres.

- La Hollande arrêtera les procès à l'encontre des ressortissants flamands dès qu’ils auront quitté Heusden.

- Le Comte de Flandres, Ascalon Breydel accordera son entière coopération lors de la résolution du conflit entre la Hollande, l’Artois et les “Bourrins”, et apportera son entière collaboration pour aider à la restitution des biens hollandais pillés.

- La Hollande s’engage à retisser les liens amicaux dans les plus brefs délais avec les Flandres.

Signés,

Elchan de Mérode van Amerongen
Chancelère d’Hollande

Ascalon Breydel,
Comte des Flandres"

2009-04-15     Crise entre l'Artois, les Flandres et la Hollande

ARRAS (AAP) - Une crise a éclaté récemment, qui a mis aux prises les provinces d'Artois, des Flandres et de Hollande. Celle-ci n'est toujours pas finie, mais l'on peut dès à présent étudier ses causes et les probables conséquences qu'elle va avoir.

Vers la fin du mois de mars de l'an de grasce 1457, le Comte Flamand, sa Grandeur Wuggalix, aurait commencé à réfléchir à l'éventualité de conquérir une des villes hollandaises. La Hollande avait selon lui suffisamment provoqué les Flandres à plusieurs reprises, notamment via des attaques économiques régulières, et les Flandres pourraient profiter d'une ville de plus, voire de l'acquisition d'une mine.

Cette idée aurait alors été proposée à sa Grandeur Yeuxbleus83, l'ancien Comte Artésien, qui l'aurait soutenu. Seules quelques personnes auraient été mises au courant afin de garder le secret sur cette opération qui devait être nette, rapide et sans bavure. Les contreparties financières auraient étudiées, ainsi que la participation de certains artésiens, membres d'une partie de l'armée artésienne nommée "les bourrins". Rappelons que certains membres des Bourrins furent accusés dans l'affaire concernant la prise de Reims. L'artois ayant démenti l'implication de son conseil à 'époque, ils furent accusés de brigandage puis relâchés pour la plupart, faute de preuve apporté par la justice champenoise de l'époque.

L'opération de conquête en Hollande ne put pas se mettre en place avant les élections, qui eurent lieu fin mars en Artois, et, un peu plus tard en Flandres. A cette occasion, la nouvelle Comtesse Artésienne, Florence la douce, aurait été mise au courant de l'opération, ainsi que certains nouveaux conseillers, et l'accord aurait été donné à nouveau. Néanmoins, le nouveau Comte Flamand, sa Grandeur Ascalon, aurait été un peu plus sceptique au départ.

Après quelques négociations, l'accord aurait été donné samedi dernier pour valider l'attaque. Le soir même, les Bourrins devaient prendre par révolte Amsterdam, et le Comte Flamand devait lancer un ultimatum le soir-même pour que la ville d'Heusden soit rétrocédée, sous peine de voir les armées flamandes envahir, en commun avec celle de l'OST Artésien commandée par Mateu, la Hollande. Le Traité de Saint Nicolas, dict l'Alliance du Lion de Fer, servait de base à cette coopération.

Mais, c'est à ce moment que le Comte Flamand, prétextant des conséquences diplomatiques potentiellement dommageables, aurait refusé de s'engager en Hollande, et ses alliés Artésiens. Dès lors, après des échanges très mouvementés entre leurs Grandeurs Ascalon et Florence.la.douce, un accord de principe aurait été trouvé, mettant toute la responsabilité sur les Bourrins et masquant le fait qu'ils avaient été au courant.

Aujourd'hui, en réaction à cette affaire, le Conseil Artésien a vu les démissions des Conseillers de la liste Valeurs Artésiennes, notamment le Commissaire au Commerce, le Chancelier, et l'ancien Commissaire aux Mines, en raison de désaccords lors de la gestion de crise en Artois. L'armée de Mateu a par ailleurs désobéi aux ordres de la Comtesse en s'engageant plus avant dans le territoire hollandais, afin d'aller prêter main forte aux Bourrins qui se trouvent toujours à Amsterdam.

En Flandres, le Capitaine aurait par ailleurs démissionné, mécontent de la gestion du Comte Ascalon lors de cette crise, et estimant qu'il avait fait une erreur en ne prévenant pas ses alliés de ce revirement de situation, justifié par des hésitations et l'impression que ce conflit, initié par les Flandres, était injustifié.

Aujourd'hui, la situation est encore très tendue ; les conséquences de cette crise pourraient être fatales à l'alliance entre l'Artois et les Flandres, à moins que des changements fondamentaux soient faits dans les Conseils actuels. Les relations avec la Hollande sont donc très tendues, et avec le SRING francophone de même. L'Ambassadeur Franc Comtois est par ailleurs arrivé au Palais Saint Vaast, de la diplomatie Artésienne, afin de demander des explications.

Il est difficile de prévoir toutes les ramifications qu'aura cette crise; on ne peut qu'espérer que la situation s'apaisera et que les Artésiens ainsi que les Flamands sauront retrouver le chemin du dialogue avec la Hollande.