BRETAGNE

2009-05-24     Fin des impôts ducaux

Rennes – AAP – d'ar Yaou 21 a viz Mae 1457

Après plusieurs semaines de troubles, de conflits politiques et d’efforts économiques, l’impôt obligatoire cesse. Le duc Mumia a en effet décrété son arrêt alors que jusqu’à maintenant les experts du pôle économiques expliquaient que l’impôt devait durer plusieurs mois. Le conseil affirme que grâce à l’impôt il bénéficie actuellement de fonds suffisants pour relancer le commerce. Pour l’heure la commissaire au commerce Azilliz n’a encore fait aucune déclaration à propos de cette réorientation de la politique économique ducale.

Voici l’annonce :

BULLETIN D’INFORMATION DUCAL - FIN DE L’IMPOT

Qu’il soit su de tous les Bretons,
Que sous le Majestueux Règne du Grand Duc de Bretagne, Amalric le XXXVIème,
Que sous la Gouvernance du vingt-septième Duc de Bretagne, Sa Grâce Mumia,
En ce dix-huitième jour du cinquième mois de l’an mille quatre cent cinquante-sept,

Sa Grâce Mumia, Duc de Bretagne, en accord avec l’avis de son Conseil, décrète la fin des impôts en Bretagne. Les Mairies ayant déjà versé les sommes exigées n’auront plus à imposer leurs administrés. Les autres devront s’acquitter de leurs dettes, dans la semaine, ou se verront majoré leur dette de 10% par semaines hors délais.
L’état de la Trésorerie Ducal permet de mettre en place d’autres dispositifs.

Fait à Rennes,
Gawam, pour le Conseil Ducal

Il apparait ainsi que le conflit ouvert entre le duché et la ville de Saint Pol n’est pas terminé, puisque cette dernière devra malgré tout payer l’impôt au duché. A moins que la majoration de 10% par semaine n’incite le maire, qui est à la fois le Grand Duc, à payer.

2009-05-24     La fin des impôts en Bretagne ?

Rennes(AAP)– D'al Lun 18 a viz Mae 1457

Mumia, au nom du Conseil Ducal, vient d'annoncer la fin de l'impôt ducale sur les villes. Il a en effet rendu public un décret en ce sens.

Depuis le 3 mai 1457 cet impôt était de 10 écus par quinzaine et par champ et échoppe, et ce pour une période indéfinie.

Cependant le décret supprimant l'imposition ducale précise que "toutes les sommes exigibles jusqu'à ce jour restent dues". Effectivement les mairies ont jusqu'au 24 mai 1457 pour payer les sommes dues au Duché sous peine de majoration de 10% par semaine de retard. Rappelons que toutes les villes ne se sont pas encore acquittés de leurs dettes.

Précisons toutefois qu'il n'est pas certain que la suppression de l'impôt ducale entraîne la disparition totale des impôts en Bretagne. En effet, le Duché aura certainement beaucoup de mal à interdire aux villes de pratiquer l'impôt alors que lui même y a eu recours.
Les impôts, qui étaient totalement inconnus en Bretagne jusqu'au début de ce mois d'avril 1457, si on excepte les villes pillés par les troupes du Royaume de France, pourraient donc continuer à exister malgré tout.

Toutefois, cette suppression est sans doute le signe de l'amélioration de la situation économique et financière de la Bretagne.

2009-05-14     Polémique en Bretagne : Le maire de Saint Pol de Leon & Grand Duc, refuse de payer l'impôt

Rennes(AAP)– D'ar Mec'hrer 13 a viz Mae 1457

La crise économique et politique en Bretagne prend un nouveau tournant. Le sieur Albatrus vient porter le scandale sur la place publique, en raison du refus de la mairie de Saint Pol de payer l’impôt exigé par le duché. Le maire de Saint Pol de Léon n’est autre que le Grand-Duc de Bretagne, qui bénéficie selon la Constitution d’une impunité judiciaire.

Pour rappel, le duc Mumia avait ordonné que toutes les villes participent au redressement du duché en apportant des fonds à proportion de leur population. La plupart des villes ont alors levé un impôt sur la population pour honorer leurs obligations envers le duché. L’argent ainsi prélevé devant permettre au duché d’entretenir les mines, grandement affectées par le sabotage de Naoned, et d’avoir des liquidités pour continuer à commercer avec les villes et l’étranger.

Amalric 36, à la fois Grand Duc et maire de Saint Pol de Léon, a annoncé qu’il refusait de payer cet impôt au duché. Il accuse le duché d’avoir été un mauvais gestionnaire pendant longtemps, il charge tout particulièrement l’ancien commissaire au commerce, du parti politique BN, Salomé Andrieux, ainsi que tous les experts économiques ayant travaillé avec elle. Selon Amalric, ce ne seraient ni aux maires ni aux habitants de payer pour réparer les erreurs du duché.

Par ailleurs, une partie de la population de la ville sont venues apporter leur soutien à la décision de leur maire. Parmi eux se comptent de hautes personnalités comme l’évêque Kurios ou l’ancienne responsable du bureau de la citoyenneté la dame Mirwen. Ils rejettent les accusations selon lesquelles Amalric aurait agit dans le dos des saint politains et défendent le particularisme de leur ville contre les accusations d’égoïsme et de trahison. Malgré tout, l’évêque Kurios insiste pour que l’on ne confonde pas la ville et ses habitants avec la mairie, qui est seule responsable de ses choix.

Une telle désobéissance pourrait valoir à n’importe quel maire un procès en trahison ou un recours administratif, mais le Grand-Duc profite de son immunité judiciaire. Or, celle-ci fait également débat. En effet une révision constitutionnelle avait été proposée par l’ancien président de la Cour de Justice, Myrlin, visant à supprimer cette immunité. C’était au moment où Amalric devenait maire, en ne respectant pas la loi qui interdit un tel cumul des mandats. Les craintes soulevées au Parlement sur les dérives possibles d’un tel cumul avaient en effet poussé le magistrat à faire cette proposition. Seulement, la révision constitutionnelle avait été rejetée par le conseil ducal, à l’époque composé exclusivement de membres du parti BN. Ce qui rajoute naturellement à la polémique. Ainsi, la proposition rejetée il y a à peine un mois, est à nouveau remis en vote à la Table ronde et au Parlement. Si le vote aboutit positivement, cela permettrait de mettre le Grand Duc en procès, ce qui serait inédit dans toute l’histoire de la Bretagne, puisque le Grand Duc est lui-même le « juge suprême ».

Outre cette nouvelle révision constitutionnelle, d’autres suggestions ont été faites en place publique pour remédier à cette situation. Des mesures de rétorsion économique ont été évoquées par Aanor et par Myrlin, visant à isoler Saint Pol de Léon et l’obliger à payer l’impôt pour pouvoir bénéficier à nouveau des services du duché. De son côté Archimbaud, défenseur de longue date de la politique d’imposition ducale et auteur d’un plan de redressement économique de la Bretagne proposant de maintenant pendant plus de 6 mois cette imposition, propose d’envoyer l’armée sur Saint Pol pour y déloger le Grand Duc.

Pour le moment le duché n’a annoncé aucune mesure particulière contre la ville de Saint Pol.

Il apparait cependant que Saint Pol de Léon ne soit pas la seule ville qui n’ait pas encore payé l’impôt au duché. Brest et Tréguier n’ont pas payé non plus selon la commissaire au commerce Azilliz. Cependant, selon elle, ces deux villes auraient des excuses valables et ne tarderont pas à s’acquitter de leurs obligations.

2009-05-10     Immobilisation des fonds de la banque bretonne

Rennes(AAP)-D'ar Sul 10 a viz Mae 1457
C'est une nouvelle mesure économique prise par le duché : il ne sera plus possible de faire de retrait de ses fonds à la banque bretonne. Les caisses du duché compteraient en effet, selon le duc Mumia, davantage d'écus appartenant aux villes, au Grand Duc et aux particuliers, qu'au duché. Ce dernier ayant besoin de liquidités pour continuer à commercer normalement avec les provinces françaises, il a donc décidé de conserver temporairement l'argent des bretons.

Pour ce faire, un décret à été pris par le duc :
"y'a plus d'sous sous dans les cai-caisses à le duché !
Sal'té d'Nao, prépare ton cul on va l'botter !
En attendant faut prendre le fric là où qu'il est !
Et c'est pour ça qu'tous vos p'tits comptes on va bloquer !

La ruine dans laquelle nous a précipités Naoned suite à sa démission oblige le Conseil Ducal à prendre la décision suivante :

En raison de la suprématie des intérêts vitaux du pays sur tout autre intérêt, le Conseil Ducal informe tout à chacun qu'aucun retrait ne peut être effectué auprès de la Banque Bretonne. Seuls les transferts de compte à compte sont autorisés. Le paiement d'une dette au Duché ne peut se faire en déduisant la somme due d'un compte à la Banque Bretonne.

Mumia, Dug Breizh
E Roazhon
d'ar Yaou 7 a viz Mae 1457"

En même temps, il est proposé aux bretons, notamment par le sieur Archimbaud, de placer leur argent à la banque bretonne pour aider le duché à fonctionner, en ayant la patience d'attendre peut-être un an, voire plus, pour pouvoir récupérer cet argent. Ces délais n'étant que des estimations d'Archimbaud et n'ont pas été confirmés par le duché.

2009-05-09     Un nouveau duc pour une Bretagne ruinée

Rennes- AAP D'ar Sul 3 a viz Mae 1457
Cela fait quelques jours maintenant que le duc Naoned a quitté ses fonctions et l'ampleur des dégâts commence à apparaître. C'est une nouvelle fois le sieur Mumia qui prend la relève. Mumia avait déjà remplacé le duc Nilas qui n'avait pas pu assuré une partie de son mandat, il y a un peu plus d'un mois. Mumia endosse donc à nouveau l'habit de "duc de secours" après un vote unanime du conseil ducal. Seulement il hérite d'une situation d'une gravité que certains anciens qualifient "d'inédite" en Bretagne sur le plan économique.

Il s'avère qu'avant de partir, le sieur Naoned aurait dépensé tous les écus présents dans le trésor dans des somptuosités. La Bretagne se retrouve sans un sou et un appel à la générosité à été lancé dans l'urgence. Chaque breton est ainsi amené à acheter des miches de pain à très haut prix à la foire ducale pour aider à la relance de l'économie. Les impôts quant à eux sont maintenus et semblent voués à perdurer, puisque aucune date limite n'a été fixée. Les bretons sont aussi invités à rejoindre bénévolement les défenses civiles, pour réduire les coûts de la maréchaussée. Il a été annoncé également la fermeture de la mine située entre Brest et Saint Pol. Enfin selon le duc Mumia la Bretagne serait "ruinée", dans la mesure où son passif l'emporterait sur ses actifs. Cela signifie concrètement que la majorité des fonds dont dispose le duché se constitue des placements des bretons et des villes à la banque bretonne. C'est donc un climat économique très tendu qui règne sur la Bretagne.

C'est aussi dans ce contexte que l'ancienne Commissaire au commerce Salomé Andrieux, qui a occupé la fonction pendant huit mois, livre le bilan de son action économique au parlement. Un bilan contesté dans la mesure où Salomé était responsable de l'économie lorsque la crise minière est apparue.

Le duc Mumia et la Commissaire au commerce Azilliz n'ont pas encore annoncé, officiellement du moins, de nouvelles mesures économiques pour faire face à la crise. Quant à Naoned, il est confirmé qu'il a tenté d'attaquer Rennes et a essayé de fuir vers la frontière à Fougères. Par une ironie du sort, c'est l'ost de Retz, armée affiliée au clan Montfort, qui a intercepté l'ancien duc et l'aurait mis hors d'état de nuire pour un bout de temps. Il faut savoir que Naoned était lui même de la famille Montfort, bien que ces derniers temps, il ait marqué quelques distances. Le clan Montfort a d'ailleurs publié une annonce condamnant les agissements de Naoned et le bannissant de la famille. La tragédie familiale s'ajoute ainsi à la tragédie d'Etat.

2009-04-29     Le conseil limogé, le duc Naoned parti sans explication : la bretagne trahie !

Rennes - AAP - D'ar Sul 26 a viz Ebrel 1457. La nouvelle vient de tomber dans la soirée de ce dimanche 26 avril : le duc Naoned a quitté ses fonctions sans prévenir personne. Absent depuis hier il est réapparu brièvement pour vider son bureau au château, sans laisser le moindre mot à qui que ce soit.

Mais, le plus grave est qu'avant de partir il a limogé l'ensemble du conseil ducal qui se retrouve dans l'impossibilité d'occuper ses fonctions, ce qui laisse présager de grosses difficultés à venir. En effet, sans prévôt, la Bretagne ne peut plus être défendue par des maréchaux et sans commissaire aux mines, plus personne ne peut s'occuper de l'entretien des mines, déjà fragiles, qui risquent de s'effondrer très prochainement. Les possibilités commerciales sont en outre bloquées pour le moment. On ignore si Naoned s'est enfui avec le trésor du duché pour l'instant. Il est possible en outre de craindre des répercussions très néfastes sur le prestige du duché à l'intérieur et à l'extérieur des frontières.

Le conseil va devoir attendre deux longues journées pour qu'un nouveau duc soit désigné. Jamais encore la Bretagne n'avait connu une pareille crise. Si par deux fois déjà des ducs avaient dû être remplacés, jamais encore tout un conseil ne fut démis de ses fonctions.

Rien ne semble pour le moment expliquer le geste de Naoned qui bénéficiait pourtant de la moitié des sièges au conseil ducal avec la liste POP et qui n'était élu que depuis une semaine à peine.

Pour le moment, les conseillers ducaux tentent de parer à cette situation en appelant à constituer des lances dans toutes les villes afin de défendre le pouvoir contre d'éventuels brigands opportunistes. Pour l'économie par contre on craint le désastre. Les plus grands experts que sont Pit51 et Ascoli ont en effet tenu des analyses très pessimistes.

On apprend également que faute de procureur en poste pour le moment, la mairie de Rohan s'est dévouée pour mettre en procès Naoned sur le motif de haute-trahison. Nous vous tiendrons au courant des suites de ce procès.

Enfin on attend avec impatience la réaction du Grand Duc, qui de part la Constitution, est apte à prendre les pleins pouvoirs dans les cas exceptionnels où le conseil ducal est défaillant.

2009-04-28     Les villes s'allient entre elles en marge du duché

Rennes(AAP)- D'ar Sadorn 25 a viz Ebrel 1457. Les graines du conflit croissent depuis quelques mois entre les grandes villes bretonnes et le duché, et aujourd'hui, la rupture est confirmée.

En effet, l'Ancien de Rieux, Pit51, vient de publier l'annonce suivante :

"Les Maires de Rieux, Vannes, Tréguier et Rohan ont décidé de former de façon consensuelle
« L’alliance du Grand Ouest » pour les Villages concernés. Cette alliance définira les buts communs entre ces villages, qu’ils soient commerciaux ou d’entraide. Les statuts de cette nouvelle Alliance sont en cours de rédaction et seront définis au plus vite, mais dès ce jour il est à noter que ce groupe est opérationnel et fonctionne déjà dans la plus simple entente et cohésion."

Il s'agit d'une première en Bretagne où traditionnellement les orientations économiques des villes sont discutées à la table ronde avec le duché. Cette alliance constitue une nouvelle étape dans la crise de confiance qui existe entre le duché et les villes et qui n'est pas récente.

Pour l'histoire, les premiers signes d'agitation ont commencé sous le mandat du duc Clodeweck, il y a environ 4 mois. C'est à cette époque que les problèmes économiques que connaît la Bretagne ont commencé à se faire sentir et que la pénurie de minerai porta un coup terrible à la santé financière du duché. Dans ce contexte, les villes devaient conclure des chartes avec le duché. Depuis la dernière Constitution, les villes peuvent en effet conclure une sorte de contrat avec le duché, appelé charte, où chacun prend des engagements vis à vis de l'autre et où des partages de compétences sont possibles. La rédaction de ces fameuses chartes conduisant pour certaines villes à des négociations âpres avec le duché. Ce fut le cas à Rennes où aucun accord ne parvenait à être trouvé. Face à des difficultés graves, la ville de Rennes leva l'impôt et fut attaquée à la Cour de justice sur sa gestion, dont la CAC de l'époque, Salomé Andrieux, critiquait particulièrement. Ce fut le cas également à Rieux, en crise avec le duché sur la question de l'impôt également, mais aussi sur la question de la présence des armées privées défendant la ville.

Cette crise politique se poursuivit sous le mandat de Nilas sur d'autres sujets. Notamment sur l'effort à fournir pour remplir les mines. La ville de Tréguier eut ainsi à se plaindre à la table ronde de connaître des problèmes économiques liés à l'abandon de la pêche au profit de la mine sans la moindre compensation de la part du duché, alors que Saint Brieuc continuait l'exploitation de la mer au détriment de la mine sans aucune réprimande. La crise avec Rieux s'est également poursuivie en raison du refus de la banque bretonne, organe du duché, de restituer les fonds placés par la ville. L'élection d'un conseiller ducal, Siny, à la mairie de Rieux, accentua encore les problèmes; en particulier, lorsque celui-ci quitta ses fonctions sans prévenir. Enfin la décision prise par le remplaçant de Nilas, Mumia, d'imposer les villes pour remplir les caisses du duché a scellé la rupture.

Le nouveau conseil, loin d'apaiser les tensions, a continué dans la lancée. Ainsi le mécontentement persiste à cause de l'impôt, qui pour l'instant est appelé à se renouveler tant que le duché n'aura pas trouvé de meilleure solution financière. C'est pourquoi pour faire face à leurs problèmes commerciaux, les maires de Vannes (La renarde), de Tréguier (Carolinus), de Rohan (Lelyana) et de Rieux (Hébus) ont décidé de travailler en commun et de résoudre ces problèmes par elles mêmes.

Le tout est de savoir quelles suites donnera cette alliance.

2009-04-25     Le conseil ducal dans la tourmente

Rennes - AAP D'ar Yaou 23 a viz Ebrel 1457

Fraichement élu, le conseil ducal connaît déjà de nombreux troubles qui contrastent avec la stabilité politique que la Bretagne connaissait avec le précédent conseil. Précédent conseil où, rappelons le, il n'y avait pas d'opposition politique. Le conseil actuel composé de trois listes fait étalage de ses dissensions au grand jour. Cela a commencé par le lancement de procès par le duc Naoned contre une partie de ses opposants -qui n'ont pas voté pour lui- désobéissant ainsi à la loi qui, d'une certaine façon, oblige à voter pour le chef de la liste avec le plus gros score. Des critiques se sont élevées au prétexte que l'élection du duc n'ayant pas posé de problème, ces procès ne serviraient qu'à punir les opposants récalcitrants.

Autre motif d'agitation : la nomination de la demoiselle Tinkerbell, fille du précédent duc Nilas et amie très proche de l'actuel duc Naoned, à la tête de la prévôté. Cette nomination entraîna un certain mécontentement parmi les maréchaux mais aussi de la part de l'Ancien de Rieux et ancien duc Pit51, dont la ville a justement été attaquée et prise par des brigands au premier jour du règne du duc Naoned. Le manque absolu d'expérience de Tinkerbell dans le domaine de la sécurité et des brouilles personnelles dit-on aurait rapidement endurci les réticences à cette nomination, à la suite de quoi Tinkerbell démissiona, sans donner de raison officielle mais certainement victime de la pression. Par cette démission elle encourt également des poursuites pour violation de la loi électorale qui interdit de quitter ses fonctions aussitôt après l'élection sauf motif impérieux.